L’EXPOSITION « JEAN HUGO, LE REGARD MAGIQUE » À VOIR AU MUSÉE FABRE JUSQU’AU 13 OCTOBRE 2024

L’EXPOSITION « JEAN HUGO, LE REGARD MAGIQUE » À VOIR AU MUSÉE FABRE JUSQU’AU 13 OCTOBRE 2024

Ce jeudi 27 juin, Michaël DELAFOSSE, Maire de Montpellier et Président de Méditerranée Métropole, Michel HILAIRE, Directeur du musée Fabre, Conservateur général du patrimoine et Florence HUDOWICZ, Conservatrice en chef du patrimoine, responsable des arts graphiques et décoratifs du musée Fabre, ont présenté la nouvelle exposition temporaire du musée Fabre « Jean Hugo, le regard magique », en présence des enfants de l’artiste.
 
Du 28 juin au 13 octobre 2024, dans le cadre d’une saison-hommage qui sera rendue à Jean Hugo (1894-1984) sur le territoire de l’Hérault, à l’occasion du quarantième anniversaire de sa disparition, le musée Fabre à Montpellier dédie l’ensemble de ses espaces d’exposition temporaire à cet artiste complet, dont l’œuvre immense reste encore à apprécier à sa juste valeur. Avec l’exposition concomitante qui sera donnée à voir au musée Paul Valéry de Sète, l’événement montpelliérain pourra enfin permettre au public de mesurer combien cet artiste a pu relever le défi de porter le nom d’Hugo au rang du meilleur de la création artistique.

À travers un ensemble de plus de 330 pièces, dont de nombreux prêts d’institutions françaises et étrangères, l’exposition Jean Hugo, le regard magique a pour ambition de présenter l’artiste ainsi que son œuvre, depuis les débuts jusqu’à la Seconde Guerre mondiale, dans sa diversité d’expression, ainsi que dans l’histoire culturelle qui l’accompagne, toutes deux d’une richesse passionnante. Avec la proposition sétoise qui sera axée sur Jean Hugo, entre ciel et terre, et celle du musée Médard de Lunel, ville où il a vécu plus de cinquante ans, qui reviendra sur son attachement au territoire, l’hommage qui lui est rendu à l’été 2024 souhaite marquer une nouvelle étape dans la connaissance et la reconnaissance de cet artiste, qui fut, tour au tour décorateur, peintre, poète et écrivain. Cette exposition bénéficie d’un prêt exceptionnel du Centre Pompidou.
 
Crédit: Cécile Marson/ Montpellier Ville et Métropole
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