La Mairie de Perpignan communique – Sébastien Monod présente son ouvrage « Dahovision(s) »
Sébastien Monod présente son ouvrage « Dahovision(s) », et célèbre à Perpignan les quarante ans de carrière d’Etienne Daho Mercredi 8 juin à 18h à l’hôtel Pams
Avec à son actif près d’une vingtaine de romans, dont son best-seller paru en 2018, « Nuit mauve » (Cogito Éditions) et quelques autres ouvrages comme des livres photos et des essais, le Rouennais Sébastien Monot est un explorateur des âmes : « On tend vers ceux qui ont des similitudes avec notre personnalité comme des grands frères ». Après avoir consacré 400 pages à « Montgomery Clift, l’enfer du décor » (Éditions Lettmotif) en 2017, le seul ouvrage français sur cet acteur sensible et méconnu, Sébastien Monod vient de sortir « Dahovision(s) » (Médiapop & chicmedias éditions) pour célébrer les quarante ans de carrière de la pop star Etienne Daho et surtout décrypter ses influences et ses références.
Tout ou presque a été dit ou écrit sur Étienne Daho depuis la sortie de son premier album, « Mythomane » en 1981. Seulement, l’auteur-compositeur et interprète rennais fascine toujours autant, notamment par sa discrétion. Comme un fan, Sébastien Monod a profité du premier confinement pour revenir sur des notes, des souvenirs et des interviews de l’artiste.
D’une belle écriture, Sébastien Monot offre ainsi un livre à tiroirs, du jeune Etienne Daho à celui d’aujourd’hui, « cet esthète qui a écrit des morceaux profonds… » Des tubes « Week-end à Rome », « Tombé pour la France », « Comme un boomerang » à « Son silence en dit long » – seul titre inédit en Français du dernier album Surf sorti en 2020 -, « Dahovision(s) » est le reflet de toute une époque, celle d’avant les portables et Internet.
À travers ses albums, « Daho est un passeur, un ultrasensible à la recherche d’authenticité et de sincérité. Ce n’est pas qu’un chanteur à tubes. D’ailleurs, il avoue que ce côté star ne lui a jamais correspondu. Il n’a jamais recherché la Dahomania. En revanche, cela lui a donné une liberté pour continuer à écrire pour lui et les autres. Je me permets de dire qu’il est intemporel parce qu’il est libre », tranche Sébastien Monod.